21:196 Secretaires: Claude Roset, Barth. Messier. (Les proces- verbaux des assemblees d'election sont inseres tout au long dans les-registres du Conseil S!etat. M. Gr ivel en a extrait la liste complete des Syndics dans le Bulletin de V institut national de Geneve, Mai 1859.) Mardi 15. Les Genevois demandent au Conseil de Neuchatel de leur ceder Viret et Lib ert et, leurs predicateurs. Apres un premier refus la demande est accordee. Cependant L ib ert et arriva seul a Geneve, Viret s'1 etant laisse engager en route par des Bernois a aller a Lausanne. (Vulliemin Chron. p. 252. Ruchat IV. 144.) . Hoc fere tempore Bullingerus et Calvinus prima vice simul Basileae commorantes sibi invicem innotuerunt quum ille cum aliis theologis ad condendam confessionem eo se contulisset. (Ep. 2634.) Lundi 28. Conseil general des communes du Val d'Aoste contre V invasion de V heresie. {Bulletin IX. 165.) . Ad hoc fere tempus nonnulli referunt iter Calvini per vallem Augustanam ubi s. D. p. evangelium clam praedicavit usque dum fuga sibi consulere coactus fuerit. Graves de hac re disceptationes exstiterunt maxime inter Jul. Bonnet et Alb. Rilliet v. Bulletin IX. 161 ss. XIII. 183. Revue chretienne XL 461. J Bonnet, Calvin au Val d'Aoste P. 1861. reimprime dans les Recits du 16e siecle P. 1864. p. 23. Alb. Rilliet, Lettre a Mr Mede d'Aubigne sur deux points obscurs de la vie de Calvin. Gen. 1864. . Jaques Des May, pretre et docteur en theologie. Remarques sur la vie de Calvin heresiarque, tirees des registres de Noyon. Rouen 1657 (reimprime dans (Jimber et Danjou, Archives curieuses de l'histoire de France T. V.) Il raconte que C. poussa jusqu'a Venise et Rome. MARS. Samedi 4. Dans Ia vie MS. de Farel, par Perrot (Neuchatel p. 33. Berne p. 44) il est parle d'une lettre de Fabri (a Thonori) a Farel (a Geneve), du 4. Mars 1536 dans laquelle Farel est prie de saluer Calvin {a Geneve??). Une pareille lettre n'existe pas. Il y a positivement erreur de date. Sur Christophe Fabri ou Libe r t et, de Vienne en Dauphine, qui avait etudie la medecine a Montpellier, et qui pousse par le desir de connaitre les doctrines de la reforme etait venu trouver Farel a Mor at, voyez Perrot I. c. p. 24. (30.)