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NOVEMB.
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in
ea
populi
electionem
et
confirmationem
non
habuerit)
seniores
ecclesiae
reformatae
accersivit,
rogavitque
ut
pie
ac
prudenter
dispicerent
an
eum
vellent
eligere,
confirmare
ac
pro
episcopo
habere:
quod
si
iudicarent
faciundum,
se
daturum
operam
ut,
sicut
coepit,
ita
pergeret
ecclesiam
sibi
commissam
docendo
et
hortando
pro
viribus
aedificare.
Sin
vero
existimarent
illum
minus
idoneum
ad
tantum
munus,
libere
et
aperte
dicerent:
se
paratum
esse
loco
cedere,
modo
ei
liceat
in
ecclesia
reformata
vivere
iuxta
sanctam
evangelii
disciplinam.
Rogavitque
ut
ea
de
re
mature
cum
ecclesia
deliberarent.
Quod
quum
factum
esset
ab
omnibus
unanimiter
ut
verus
episcopus
agnitus
et
receptus
est.
3)
Divione4)
tumultus
ortus
est,
non
sane
fidelium
vitio,
sed
adversariorum
petulantia
et
rabie.
Nostros
enim,
quum
sacrum
coetum
haberent,
invaserunt,
et
quasi
iusta
pugna
confligendum
esset
tympana
adhibuerunt,
Septem
domus
direptae
sunt,
quamvis
nostri
superiores
evaserunt.
Mittuntur
ad
aulam
qui
causam
expositam
secum
adferunt.
Voluissent
ut
ego
rem
eorum
Admiraldo
et
principi
3)
Hist
eccl.
I.
767;
Sur
la
fin
de
Septembre
messire
Ant.
de
Carracciol
Ev.
de
Troys
revenant
du
colloque
de
Poissy
ou
il
avoit
aucunement
profite,
estant
aussi
solicite
par
quelques
princesses
et
autres
dames
de
la
cour,
se
presenta
au
consistoire
de
l'eglise
de
Troys
recognoissant
ses
fautes
solennellement
et
requerant
estre
admis
au
ministere.
Surquoy
les
advis
se
trouvans
contraires,
les
uns
estimans
que
ce
seroit
un
grand
avancement
de
l'attirer
de
leur
coste,
les
autres
ayant
pour
suspecte,
et
non
sans
cause,
la
legerete
et
vie
impudique
dudit
Evesque
iusques
alors
par
trop
cogneue,
la
resolution
fut
d'en
demander
advis
aux
ministres
assembles
a
Poissy,
lesquels
s'y
trouvans
aucunement
perplex
a
cause
de
plusieurs
circonstances
qui
se
publioient,
on
envoya
demander
conseil
a
l'eglise
de
Geneve
l'opinion
de
la
quelle
se
trouve
par
escrit
es
responses
latines
de
Jean
Calvin
(vide
Opp.
X.
184).
Cependant
passa
par
Troys
ce
grand
personnage
P.
Martyr,
retournant
de
Poissy
a
Zurich,
par
l'opinion,
duquel
l'Evesque
ayant
faict
abiuration
et
signe
la
confession
de
foy
et
promis
de
quitter
son
Evesche,
fut
recu
au
ministere,
non
toutefois
sans
contredit,
s'y
estant
oppose
l'un
des
ministres
nomme
Pierre
le
Eoy.
4)
Quod
hic
de
Divionensibus
narrat,
hoc
ei
fortassis
a
Sorello
traditum
fuit.
Hist
eccl.
I.
778:
Diion
n'a
este
des
dernieres
a
recevoir
la
lumiere
de
l'Evangile.
Mais
ceux
ausquels
Dieu
avoit
ouvert
les
yeux
n'ont
iamais
este
sans
grande
crainte,
pour
avoir
este,
depuis
la
mort
de
l'amiral
Ckabot,
gouvernes
sous
la
maison
de
Guyse
et
ayant
eu
en
ce
temps
pour
lieutenant
du
Eoy
le
Sr.
de
Tavannes,
homme
d'autant
plus
dangereux
qu'il
avoit
eu
autrefois
la
cognoissance
de
la
religion.
Mais
outre
ceux
qui
ont
este
les
plus
rudes
adversaires
il
faut
compter
Benigne
Martin
maire
de
la
ville,
lequel
voyant
au
commencement
du
regne
de
Charles
IX.
que
ceux
de
la
religion
venoient
en
avant,
se
delibera
de
les
empescher
tellement
que
encores
que
l'Edict
de
Iuillet
defendit
de
recercher
les
personnes
en
leurs
maisons
pour
le
faict
de
la
religion,
ce
neantmoins
ne
laissa
de
recercher
et
emprisonner
hommes
et
femmes
et
s'oublia
iusques
a
esmouvoir
des
gens
par
troupes
pour
saccager
certaines
maisons
etc.
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